En plus des principes énoncés dans les présentes lignes directrices, l’entièreté des dispositions du RGPD restent, bien entendu, applicables au traitement de données à caractère personnel que constitue la vidéosurveillance.
La CNPD souhaite attirer particulièrement l’attention des responsables du traitement sur l’obligation qui découle de l’article 32 du RGPD de mettre en place des mesures techniques et organisationnelles adéquates afin de garantir la sécurité et la confidentialité des données faisant l’objet d’un traitement.
En outre, la CNPD tient à rappeler que si un sous-traitant est impliqué (par exemple, une société de gardiennage) dans le traitement de données à caractère personnel résultant de la vidéosurveillance, un contrat de sous-traitance répondant aux critères de l’article 28 du RGPD devra être mis en place.